Des universitaires ont tenu un colloque « droit et rock » les 1er et 2 avril 2010 à Limoges.
Photo : Wanda Mastor.
Le rock et le droit entretiennent évidemment d'étroites relations : l'on songe tout de suite aux frasques et excès en tous genres des rockers qui ne cessent d'alimenter les gazettes. Mais il y a aussi toute la traîne de litiges qui suit la musique comme son ombre : propriété artistique, plagiat, contrat, trouble de l'ordre public... À l'initiative de l'Observatoire des mutations institutionnelles et juridiques (Omij) de la faculté de droit et des sciences économiques de Limoges, et en partenariat avec la fédération limougeaude Hiéro, la richesse du sujet n'a pas échappé aux juristes qui ont tenu un colloque « droit et rock » les 1er et 2 avril 2010, dans l'enceinte de l'université de Limoges. Ils y ont réfléchi au rock en tant que « facteur de subversion », « objet de protection » et « vecteur des droits de l'homme ». En attendant que paraissent les actes, on se reportera au bref compte rendu qu'en fait Pascale Deumier, professeure à l'université Jean Monnet de Saint-Étienne. Elle-même présidait la session consacrée à la protection.
8 mai 2010
Sources : colloque « Droit et rock », université de Limoges, 1er et 2 avril 2010. « Droit et rock in Limoges », Pascale Deumier, blog « Droit et culture » de Dalloz. Observatoire des mutations institutionnelles et juridiques (Omij). Fédération Hiéro de Limoges.